• Le rendez-vous

    Le rendez- vous


    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

     Vous réservant une page à la une !


    Notre journal si plein de fantaisies

    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.


    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.


    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »


    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.


    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.


    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !


     Chantal DARMONT


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  • Commentaires

    1
    Eloise de la motte
    Dimanche 2 Mai 2010 à 09:53
    Elle était bien cette poèsie j'ai adoOré le reciter
    • Nom / Pseudo :

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      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    2
    jessica
    Mardi 24 Mars 2015 à 17:58
    3
    popo
    Samedi 21 Mai 2022 à 13:02
    4
    popo
    Samedi 21 Mai 2022 à 13:03
    5
    popo
    Samedi 21 Mai 2022 à 13:07

    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

     Vous réservant une page à la une !

     

    Notre journal si plein de fantaisies

    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

     

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    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

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    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

     

    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

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    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

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    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

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    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

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    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

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    Notre journal si plein de fantaisies

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    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

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    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

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    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

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    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

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    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

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    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

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    Car nous aussi nous venons de la Terre,

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    Nous étions là… poètes réunis

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    Est-ce l'effet de votre carapace,

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    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

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    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

     

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    Est-ce l'effet de votre carapace,

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    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

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    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

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    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

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    Car nous aussi nous venons de la Terre,

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    Nous étions là… poètes réunis

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    Les conquérants de notre doux pays.

     

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

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    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

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    Pour les humains de tout notre univers.

     

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    Nous étions là… poètes réunis

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    Les conquérants de notre doux pays.

     

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

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    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

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    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

     

    6
    popo
    Samedi 21 Mai 2022 à 13:09

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    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

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    Car nous aussi nous venons de la Terre,

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    Est-ce l'effet de votre carapace,

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    Est-ce l'effet de votre carapace,

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    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

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    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

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    Est-ce l'effet de votre carapace,

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    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

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    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

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    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

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    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

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    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

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    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

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     Chantal DARMONT

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    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

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    Monsieur Aldrin est venu à son tour

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    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

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    En remontant dans votre engin lunaire,

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     Chantal DARMONT

     

    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

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    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

     

    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

     Vous réservant une page à la une !

     

    Notre journal si plein de fantaisies

    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

     

    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

     Vous réservant une page à la une !

     

    Notre journal si plein de fantaisies

    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

    vMonsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

     Vous réservant une page à la une !

     

    Notre journal si plein de fantaisies

    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    Mettre le pied sur le sable lunaire,

    Et tous les deux avec beaucoup d'humour

    Vous regardiez au loin le clair de Terre.

     

    Vous avez pris en vos mains quelques pierres,

    Un peu de sable et regardé partout,

    Mais vous avez oublié les chimères

    Qui voletaient dans l'air autour de vous.

     

    En remontant dans votre engin lunaire,

    Vous étiez fiers… et nous l'étions autant,

    Car nous aussi nous venons de la Terre,

    De la France, nous sommes habitants !

     

     Chantal DARMONT

     

    Monsieur Armstrong, j'étais au rendez-vous

    Ce matin-là de juillet sur la Lune,

    Tous mes amis étaient là, avant vous

     Vous réservant une page à la une !

     

    Notre journal si plein de fantaisies

    Vous réservait des colonnes en vers

    Et votre exploit devenait poésie

    Pour les humains de tout notre univers.

     

    Quand votre pied s'est posé sur la Lune,

    Nous étions là… poètes réunis

    Pour accueillir sans la moindre rancune :

    Les conquérants de notre doux pays.

     

    Est-ce l'effet de votre carapace,

    De ce costume hermétiquement clos ?

    Vous n'avez pas entendu dans l'espace

    Nos cœurs unis qui vous criaient : « Bravo ! »

     

    Monsieur Aldrin est venu à son tour

    M

    7
    Olivier
    Dimanche 14 Avril à 11:31

    ca va elle est facile glasses

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