• Vacances scolaires

    Bonnes vacances d'hiver

    à toutes et à tous !

    La reprise aura lieu le lundi 12 mars 2012.


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  • Jean de France


    J'aimais ton rire, j'aimais ta voix,

    Qui racontait nos différences,

    Moustache rapportée de Cuba,

    De Santiago, quelle importance ?


    J'aimais tout ce qui était toi

    Quand tu bousculais nos consciences,

    Jean Tenenbaum ou Jean Ferrat,

    Tes mots déchiraient nos silences.

     

    Et je m'imaginais Créteil

    Quand tu me fredonnais ma môme

    Et ces deux enfants au soleil,

    Garcia Lorca en son royaume.


    Moi, j'écoutais "Nuit et brouillard"

    Enfermé dans mon innocence,

    Je comprendrais beaucoup plus tard

    Nul ne guérit de son enfance...


    5 commentaires
  • Jean Ferrat

    J'aimais ton rire, j'aimais ta voix,

    Qui racontait nos différences ,

    Moustache rapportéede Cuba ,

    De Santigo, quelle importance ?

    J'aimais tout ce qui était toi

    Quand tu bousculais nos consciences,

    Jean Tenenbaum ou Jean Ferrat,

    Tes mots déchiraient nos silences.

     

    Et je m'imaginais Créteil

    Quand tu me fredonnais ma môme

    Et ces deux enfants au soleil ,

    Garcia Lorca en son royauma .

    Moi j'écoutais "Nuit et brouillard "

    Enfermé dans mon innocence

    Je comprendrais beaucoup plus tard

    Nul ne guérit de son enfance

      

    Jean de France

    Tu chantais pour les gens de France,

    De la Bretagne à la Provence,

    Avec la fierté, l'insolence,

    Dedire ce qu'on ne disait pas,

      

    Jean de France

    Humain jusqu'à la transparence,

    De ceregard qui fait confiance

    Pour le secret des confidences,

    Quand tu croiseus les yeux d'Elsa.

      

    D'ailleurs, que serai-je sans toi ?

    Et voilà Aragon qui danse, 

    Même ferré m'en revient pas 

    De ces mélodies qui s'élancent .

    C'est Potemkine et Maria 

    Unis dans la même souffrance 

    Mourir au soleil, ça me va 

    Mourir debout, quelle élégance!

      

    Jean de France,

    Tu chantais pour les gens de France 

    De la montagne aux plaines immenses,

    Tu défendais tous ceux qui pensent

    Que le malheur n'existe pas

      

    Didier BARBELIVIEN

    (1954) 

      

      


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